Les Pierres de Crysède

Soudainement, l'attention s'était portée sur la conversation, et Andell ne put se réprimer un certain embarras. Tout de même, il répondit courtement à chaque personne qui lui avaient parlé, par respect.

- Amandel, pardonnez cette pensée, mais vous devez assez mal connaître les elfes pour ne pas m'avoir déjà différencié des autres. Les elfes de la lunes sont aussi appelés... elfes gris (Andell le dit avec un accent de regret dans la voix, ce surnom leur étant déplaîsant), vu leur couleur de peau. Ceci nous... me différencie déjà des autres elfes. Et vous savez, ce n'est pas parce que nous restons assez éloignés des régions humaines que nous dommes limités aux mythes... mythes !?! Il... y a des mythes sur les elfes de la lune ?

Nous... Pourquoi utiliser le "nous", à présent ? Tous les siens étaient morts, la seule famille lui restant étant sa soeur adoptive, une drow... *Soupir* Andell se retourna vers Endy, qu'il était surpris de voir ici, après tout ce temps.

- J'en ai vu bien assez sur vous pour connaître vos titres, demoiselle Endy. Mais quoi que vous fassiez, c'est le titre de "demoiselle" qui vous suivra... s'il vous convient toujours, bien sûr.

L'elfe de la lune garda le silence sur les "problèmes potentiels". Il voulait à tout prix éviter d'utiliser ses pouvoirs ici, surtout en présence de tant de gens: c'était peu risqué pour les autres, trop risqué pour lui-même. Si quelque chose arrivait, il devrait y faire face, autant que possible, avec une épée, comme tout combattant physique... même s'il n'avait pas le physique pour ça.

À qui n'avait-il pas répondu ? Bahir... Qu'avait-il dit, déjà ? Qu'il était le fils... de Kalisto ?

- Vous êtes le quoi ? Le fils de demoiselle Kalisto ? ...

Andell eut un regard grave. Kalisto... Un nom qu'il ne s'attendait pas à entendre ici... L'elfe de la lune s'éloigna un peu du groupe, le regard perdu, n'écoutant pas si les autre continuaient de parler. Il frottait un anneau qu'il avait gardé à son doigt... depuis ce temps...

Amendel se senti coupable du désespoir de Andell, il aurait peut-être dû adoucir ses mots. Il fixa le sol pendant un instant, soupira, puis s'exprima:

- Mon père m'a parlé des elfes de la lune lorsque j'étais petit. Tout comme ils m'a parlé de clans de minotaures civilisés vivant au sud de la frontière de ces terres, et d'elfes ailés qui vivaient dans des palais très haut dans le ciel.

Il précisa:

- Mais il me contait ces histoires autour d'un feu de camp le soir, avec les légendes et histoires épiques qu'il avait mémorisé durant sa vie. Je... n'ai aucune façon de différencier les histoires vraies des mythes, puisqu'il les racontait avec tellement de passion, de plus qu'ils étaient bourrés de détails. Mon père était un voyageur comme moi, il s'est aventuré beaucoup plus loin et a vécu beaucoup plus de choses qu'on ne peut le croire.

Le rôdeur qui tentait de rendre Andell le moins malheureux possible, se senti obligé de lui révéler autre chose que son père lui avait auparavant affirmé. Il continua:

- Ma mère est une elfe. C'est ce que mon père ma toujours dit. Il la décrivait avec tant d'amour et de précision que c'est comme si je l'avais vue depuis toujours. Mais je ne l'ai jamais vue. Même pour ça, je n'ai aucune preuve que c'est vrai... Je pourrais vous dire que mon père m'a affirmé avoir rencontré des elfes lunaires au cours de ses périples, mais je ne pourrais le confirmer, puisque je n'ai plus revu mon père depuis l'âge de 16 ans...

On pouvait sentir un malaise dans l'air. Non seulement Amendel ne sentait pas qu'il avait réconforté l'elfe gris, mais il semblait s'avoir plongé dans le même désarroi que lui en se remémorisant des moments de son passé qu'il lui manquait tant. Après un moment de silence, il dit au groupe qu'il serait mieux de trouver un abri pour se protéger de la pluie durant quelques temps, car elle semblait pénible aux autres. Il se mit a fixer de nouveau l'horizon, ne disant plus un mot, et cherchait un arbre ou une caverne qui pourrait les protéger de cet orage imprévue.

Andell s'était approché de nouveau d'Amendel après qu'il aie conseiller au groupe de se trouver un abri. Il avait été un moment embarrassé par l'étonnement du rôdeur par rapport à sa race, mais ce n'est pas ce qui l'avait ennuyé. Désireux de justifier les choses, Andell lui répondit.

- Vous savez, Amendel, c'est difficile à croire que votre père aie rencontré des elfes lunaires, ou du moins n'aura-t-il pas pu voir leurs demeures. Les elfes de la lune -c'est parfois très regrettable- s'isolent et ne laissent personne s'approcher de leurs cités, si ce n'est pas d'autres elfes de la lune. Ils en refusent même l'accès aux autres races d'elfes..."

Andell marqua une pause. Parler des elfes de la lune comme s'il y en avait encore qu'il connaissait lui faisait un peu de bien. Mais il avait à présent à justifier ses regrets momentannés.

"Pour votre père... je vous comprend très bien. J'ai... subitement perdu de vue tous les miens à mes 123 ans, ce qui correspond pour les humains à une dix-huitaine d'années. Et ce n'est que plusieurs années plus tard que j'ai appris que... qu'ils étaient tous morts. C'est regrettable, mais je suis passé par-dessus. Vous dîtes que votre mère est une elfe ? Vous n'auriez pas les oreilles un peu pointues, alors ? C'est un trait qui est propre aux vôtres, normallement...

- Non, mes oreilles sont normales, et c'est pourquoi mon père m'a élevé... Les elfes du royaume de ma mère n'apprécient pas les humains, contrairement de ma mère. Si ma mère m'avait hébergé durant mon enfance, nous aurions pu être renié par les elfes, rejetés, voir même tué. Et étant donné que je n'ai aucun trait physique elfique... mon père a cru bon de s'occuper de moi... Je crois que c'est pour le mieux aussi, je ne voudrais pas que ma mère souffre a cause de moi.

Amendel continua a marcher sur la route, et fixa les nuages grisâtres au dessus de lui. Pensif, il semblait se demander s'il verrait sa mère un jour. Puis, il pensa bon de préciser:

- Ce qui compte pour moi, c'est de retrouver mon père. J'ignore s'il est encore vivant aujourd'hui... mais mon intuition me dit qu'il l'est tout autant que moi. Quand on n'aura plus besoin de moi, j'irai voir au village de la forêt de Valenda, mon oncle y vit... peut-être aurait-il eu des nouvelles de mon père cette fois-ci...

Les bras croisés, il écoutait le son appaisant de la pluie qui tombe qui remplacait le silence glacial, vide qu'il était habitué d'entendre lorsqu'il était seul, et cela semblait le réconforter. Une idée lui vint en tête, et il crut bon de l'exprimer:

- Si je revois mon père un de ces jours, je n'oublierai pas de lui demander de me raconter encore une fois ce qu'il mavait raconté sur les elfes de la lune. J'ignore s'il les a vraiment rencontrés, mais il doit surement avoir d'intéressants renseignements.

Il souria brièvement, puis continua de regarder la pluie tomber.

Quand Amendel lui dit que son but était de retrouver son père, Andell exprima un certain malaise qu'il ne montra cependant pas. Le but de sa propre vie, à présent... survivre. Survivre à la magie qui l'avait accompagné toute sa vie, bien qu'il n'en fut que conscient pendant les 20 dernières années (environ).

Combattre la magie par d'autre magie, plus forte, plus instable. Le temps... Son contrôle sur le temps lui avait permis de survivre plus longtemps, aussi petit soit-il. Mais ses pouvoirs "innés" (qui ne sont pas vraiment innés, mais bon) sur le vent recommençaient à le fatiguer un peu. Ne plus les utiliser à nouveau, c'était regrettable...

Le groupe arrivèrent enfin, après plus d'une demi-heure sous la pluie, en vue d'un petit abri. C'était un simple toit soutenu, sous lequel quelques piles de rondelles de bois étaient gardés relativement au sec, mais ils firent halte ici tout de même.

- Au fait, comme nous sommes à présent à l'abri, pourrais-je jetter un coup d'oeil sur l'un des livres ?

Bahir qui pendant le reste du voyage parla le plus possible a Endy ne pu s'empeché d'écouté ce que Amendel et Andell se dissait.Quand il arrivère a l'abris une question fût entendu de la par de Andell.

- Au fait, comme nous sommes à présent à l'abri, pourrais-je jetter un coup d'oeil sur l'un des livres ?

Bahir surpris de cette question eux un petit sourire, pris son sac et le déposa devant Andell.

-Je ne crois pas qu'il y est de problème avec cela.

Après cette phrase Bahir retourna près de Endy mais juste avant il s'assura d'éssuiller sa plate pour que aucune rouille se fasse.

"... des récits légendaires et un livre rouge tout aussi étrange..."

C'est bien ce qu'il avait dit... Andell avait regardé les différents livres. Oui, bien des légendes, en effets. Celui qui les réclamait les prenait-il au sérieux, ces légendes, ou voulait simplement enrichir sa bibliothèque ? Qui pouvait bien voir à faire se déplacer tant de personnes pour de simples livres ? Et pourquoi leur répétait-on qu'un danger était possible ? À moins que... soit chacun des livres étaient importants, soit l'un d'entre eux était particulier...

Andell chercha rapidement le livre rouge "étrange" dont on lui avait fait mention, le ramassa et feuilleta quelques pages. Bizarre, en effet... Il le lirait autant que possible avant leur arrivé à destination... et le protégerait à part des autres livres, pour réduire le risque possible de tous les perdre en même temps. (Ça, c'est un but dont personne n'est au courant sauf lui-même. Il ne fait que donner l'air de s'intéresser aux livres pour la lecture, mais il en garde de côté au cas où) Il ramassa un autre livre de la pile, pour vérifier si quelque chose pouvait bien rendre un des deux livres différent des autres...

Bonjour!

Une voix claire et joyeuse avait retentit à quelques pas de l'abris, suivit tout de suite d'un éternument. Gayel, toute trempée mais souriante, s'était arrêter en les regardant. Son cheval gris, la crinière trempée dans les yeux, agitait doucement la tête d'impatience.

-Je vous ai vue passé de l'endroit où je me trouvais et je dois dire que c'est avec joie que j'ai reconnue parmie vous certain compagnon. Je me suis alors permise de venir vous rejoindre.

Bonjour Endy, bonjour Andell. Ha oui bonjour Zero, je ne vous avais pas vue, pardonner moi. Pour les autres, je ne crois pas vous avoir déjà rencontré mais se serais avec plaisir que je ferais votre connaissance. Si je ne dérange pas bien sur, je pourrais toujours continuer ma route vers ce que je cherchais...

Bahir qui était assis près de Endy entendit alors une voix magnifique se faire entendre.Au début il resta assis comme si de rien était, mais la femme recommenca ensuite a parler alors Bahir ouvrit ses yeux et regarda la femme.Elle était assis sur un cheval gris.Après quelque phrase que la dame dit Bahir répondit.

-Encore une personne qui ne me connaît pas...mais je crois savoir qui vous êtes. Seriez vous une amie de ma mère Kalisto.Je crois que j'ai entendu parler de vous pendant mon enfance quand ma mère me parlais de c'est histoire magnifique avec s'est amis(es).

Bahir qui était encore assis remarqua Endy se lever brusquement et courir pour voir Gayel.

-Encore une personne qui passe avant moi.

Bahir qui venait de dire cette phrase d'un air blageur eu un petit sourire et se recoucha pour écouté le bruit de la pluie un son si beau a ses oreilles après toute c'est années de guerre.

Félicia regarda la femme salua les gens autour d'elle dans l'abri, elle n'aimait point rester groupé de si proche, donc elle décida de quitter l'Abri et rester seul sous la pluie.

Elle regarda le vent passer au travers des feuilles, des arbres du printemps. Elle essaya le moin possible d'entendre la conversation des autres, qui fut asser difficile.

Sentant la fraicheur de la pluie monter en elle, elle décida de prendre une promenade. Elle se retourna vers les autres et dit tout bas:

-Je reviendrai, ne vous inquiéter pas.

Elle fit un petit sourir et quitta les lieux...

Gayel s'avança sour l'abris, heureuse d'être bien acueillit et de ne pas déranger. Elle était aussi très heureuse de les revoir.

-Cela fait en effet un certain temps que nous n'avions pas eu la chance de nour voir Endy, je suis ravie de vous revoir ici, surtout part cette triste pluie...* Elle éturnua une fois de plus et dit en blagant* je crains cependant d'avoir pris froid.

Ho, pour ce que je cherche...en fait je cherche quelqu'un et non pas quelque chose mais pour l'instant ça n'a pas d'importance.
Et vous Endy, comment allez vous? Bien j'espère.

Elle prit le temps cette fois de regarder chaque personne présente. Elle fit un joyeux signe de la main à Zero et adressa un sourire plus doux, mais plus timide à Andell. Une jeune demoiselle qui lui était aussi inconnue sortit en murmurant quelquels paroles. Elle arrêta finalement son regard sur l'homme qui venait de parler.

-Je suis bien une amie de votre mère, elle m'avait déjà parlé de vous. Je vous connaissais de nom, maintenant heureuse d'avoir fait votre connaissance.

Elle jete un regard vers ce qu'ils avaient abrité de la pluie.

-Si je ne suis pas indiscrète j'aimerais savoir, que transportez vous...Cela doit être bien précieux pour qu'une telle compagnie en ai la charge...

Amendel vit du coin de l'oeil cet homme s'approcher d'eux depuis un moment. Il allait s'attendre au pire lorsque celui-ci offrit son aide. Amendel, soupsconneux, rétorqua:

- Vous n'avez pas l'allure de quelqu'un qui désire aider les gens...

L'archer se méfiait de lui. Son apparence était un peu trop... aggressante pour appartenir a une personne qui voudrait faire le bien. Les taches de sang sur ses vêtements étaient probablement la première indice qui confirmait les doutes sur ses intentions réels. Mais il ne pouvait tout de même pas le repousser. Il trouva juste par contre de le questionner.

- Qui êtes vous, voyageur? Pourquoi désirez-vous aller a notre destination? J'aimerais un peu plus de détails sur vous avant de songer a peut-être vous faire confiance...

Il regarda autour de lui pour vérifier si quelqu'un le connaissait. Puis il s'éloigna un peu, sorti dehors quelques instants sous la pluie qui semblait vouloir cesser, puis fit le guet, la main a la hanche (une facon subtile de se préparer a dégainer son arc). Il surveilla plus attentivement le porteur de livre, car pour lui, si ca avait lieu, ca pourrait être la cible d'une attaque possible. Pour le rôdeur, la prudence signifiait de considérer toute action possible qui pouvait arriver, même les plus improbables.

Bahir qui était debout remarqua Sephiroth s'avancé.Bahir ne fît rien au début mais se leva et placa sa lame entre Sephiroth et Endy.

-Ne faite plus un pas Sephiroth.

Sephiroth un peu étonné recula quelque instant et se demanda qui avait dit ces paroles alors il regarda l'homme qui tennait la lame.C'était Bahir.Il avait les cheveux dans le visage la tête baissé et les yeux fermés.

-Sephiroth je crois que vous effrayez déja assez de personne n'agravez pas votre cas...

Un bruit fin de frottement entre deux lames métalliques se fit entendre. Bahir sentait son épée vibrer doucement dans ses mains au fur et à mesure que, dans un son mélodieux qui ressemblait à une longue note de musique, une mince lame d'argent bleutée glissait sur celle-ci. Il releva la tête.

Andell le fixait, deux livres fermés dans sa main gauche, sa rapière de mithral tendue avec légèreté. L'elfe de la lune souriait. Il n'avait jamais essayé un tel contact avec sa rapière, aussi fut-il surpris -et touché- par le magnifique son qui en resortait.

- Allons donc, Bahir. Pourquoi menacer ainsi un inconnu qui se présente à nous ? Baissez votre arme...

Andell, toujours souriant, rangea sa rapière et, passant à côté de l'homme, s'arrêta, le temps de lui chuchotter:

- Je connais Endy mieux que vous. Si elle est en danger, elle voudra agir seule...

Il alla voir sans autre commentaire Telemnar. Son cheval attendait à l'abri. Il se pencha sur l'un de ses sacs... *J'espère avoir l'occasion de lui parler en privé... Dire que les elfes de la lune étaient... sont des forgerons à peine égalables par les nains... J'en doutait au départ... Enfin, avec de la pratique, ces armes spéciales pourraient s'avérer efficaces...*

(Les elfes de la lune sont en effet réputés, entre autres, pour leurs équipements et leurs bibliothèques sans égales. Cependant, personne d'autre que l'un des leurs n'ont accès à leurs 'villages'. Il était temps que je fasse des recherches plus appronfondies à leur sujet, au lieu de juste me fier à D&D)

Gayel éclata d'un rire joyeux. Détendant l'atmosphère. Elle le fit reculé de quelque pas.

-Et bien Sephiroth, vous avez quelque peu interrompu la conversation mais ça ne fait rien. Je suis Gayel et peut-être aussi indésirable ici, je n'en sais toujours rien.

Elle changea subitement de sujet.

-Je ne crois pas que vous soyez dangereux, vous nous auriez déjà attaqué. Peut-être avez vous un autre motif et si réellement vous ne savez plus qui vous êtes...drôle d'idée de venir ici.

Elle se détourna pour demande à qui voulait lui répondre.

-Alors...Vous m'accepter parmis vous...

Bahir qui remarqua une certaine hésitation sur les mots de Endy alla la voir après qu'elle tourne le dos.

-Je ne vois pas en quoi cela changerais quelque chose.. Lui souffla Bahir dans l'oreille.

-Vous êtes merveilleuse cela est la seule chose qui me tienne a coeur.

Bahir recula ensuite et regarda droit dans les yeux de Sephiroth.Les yeux de Bahir était bleu crystal.Il le regarda quelque instant et alla voir Andell.

-Andell la prochaine fois ne sortez pas vôtre arme...ce n,est pas une menace mais juste pour vous avertir je ne l'aurais pas attaqué.

Bahir regarda ensuite Gayel.

-Biensûr que vous pouvez venir je suis sûre que si ma mère serait encore vivante elle serait heureuse de vous voir.

Bahir se tourna ensuite et commenca a marché seul dans le bois...Quelque instant après on pu entendre un petit craquement de bois et un coup de métal mais se son ne pouvais presque pas être entendu sauf pour quelque personne.Une bruit de métal ensuite se fît entendre plus fort et encore plus fort jusqu'a ce qu'un arbre tombe.Un bruit d'animal se fît alors entendre et le métal tombit au sol.

Après quelque seconde de cette conversation assez silencieuse, une ombre marcha trnaquillement derrière Endy et cria:

-Boo!

Voyant que Félicia n'avait point fait peur à Endy, elle se mit à rire et dit:

-Pourquoi la face si triste? ^^

Peut-être était-ce pas la bonne quéstion à poser en se moment, se demanda Félicia toujours le sourir dans face...

Bahir était venu parler à Andell. Ce dernier l'avait laissé s'éloigner, désirant ardemment répondre , cependant, pa rla logique toute simple qi l'avait fait dégainer en premier lieu. Sortir son épée sans raison valable... Andell l'avait fait pour donner un exemple à Bahir: un exemple de ce que lui-même avait fait.

Il était assez loin des autres pour ne pas bien comprendre leur discussions. Il vit simplement une jeune femme s'exclamer derrière Endy et partir à rire. Endy, si mystérieuse, et pourtant... Il en savait bien assez. Et il avait quelque chose pour elle...

Andell détourna les yeux quelques secondes. Pourquoi restait-il avec le groupe, si ce n'était que pour aller porter des livres ? On aurait dit une réunion de camarades plus qu'autre chose. Enfin...

Son regard se fixa sur le nouvel arrivant, ce Sephiroth... Était-il sage de l'aider ? Devait-il essayer de voir son passé ? Non, Andell s'était promis de ne plus utiliser la magie sauf dans les urgences les plus extrêmes. Mais tout de même...

Félicia. Alors elle, il n'avait aucune idée d'où elle venait. Bahir, lui, il en avait une petite idée, tout comme Amendel... la tentation lui revenait d'utiliser la magie, mais il se ravisa.

Au fait... où était Bahir ? Il lui avait parlé un instant, puis...

- Quelqu'un aurait vu Bah..."

L'elfe de la lune venait de voir Gayel, croisant son regard pour la première fois depuis don arrivée dans le groupe.

"... Bahir... ? Il s'est... éloigné sans prévenir..."

Andell rougit en détournant la tête. Gayel... que fesait-elle ici ? Avait-elle besoin d'aide, de compagnie ? Les dangers possibles de cette quête ne pouvaient-ils pas être trop risqués pour elle ? Milles questions se bousculaient soudainement dans sa tête, le faisant rougir un peu plus... Il respira profondément, reprit sa concentration en tâtant de sa main gauche la rapière à son côté, et faisant comme s'il ne l'avait pas vu.